La baisse de régime endurée par le marché français depuis trois mois, à hauteur de – 72,2% en mars, – 88,8% en avril et -50,3% en mai par rapport à 2019, concerne tous les segments. Dès lors, l’actuelle épidémie de coronavirus n’a guère modifié les rapports de force en vigueur en matière d’immatriculations de véhicules particuliers. Lire la suite…