
Alors que sa co-entreprise avec GAC a déclaré faillite en Chine dans le courant de l’été, le parti communiste de la province de Hubei a décidé de mettre la pression sur le nouveau patron du groupe Stellantis. Motif ? Il ne produit pas assez de voitures électriques et doit mettre le paquet en la matière. Mais avant cela, il faudra redorer le blason en Chine où de nombreux occidentaux sont à la peine. Lire la suite…