
Dans la « vallée de la batterie » des Hauts-de-France, l’ambition de souveraineté industrielle se heurte à un paradoxe : pour s’affranchir des batteries chinoises, les gigafactories françaises doivent… apprendre auprès d’ingénieurs venus de Chine et d’Asie. Chez AESC, Verkor ou ACC, ces experts étrangers encadrent au quotidien des salariés, souvent néophytes, accélérant la montée en puissance des sites tout en interrogeant la réalité de notre autonomie industrielle. Lire la suite…

